Sorcellerie et mauvais œil : réécrire votre histoire

Quand la sorcellerie et le mauvais œil influencent nos vies

Nous avons tous déjà entendu parler de la sorcellerie, des sorts jetés, du mauvais œil qui viendrait ternir une existence jusque-là tranquille. Pourtant, derrière ces images parfois chargées d’ésotérisme, il y a une réalité plus subtile : certaines paroles, certains regards, certains gestes laissent des empreintes invisibles mais bien réelles.

Un « sort » n’a pas toujours besoin d’un rituel ou d’un grimoire pour exister. Parfois, il prend simplement la forme d’une phrase répétée, assénée avec conviction, jusqu’à devenir une vérité intérieure.

Je pense à cette cliente qui m’a raconté comment, toute son enfance, un professeur l’avait désignée devant la classe en disant : « Tu es lente, tu n’y arriveras jamais. » Avec les années, ces mots se sont incrustés en elle comme de la magie noire. Elle a grandi avec l’impression d’être toujours « en retard », toujours pas assez rapide pour la vie. Cela a guidé ses choix bien plus qu’elle ne l’aurait imaginé.

Les blessures invisibles : paroles et actes qui marquent

C’est peut-être là que se cache la vraie puissance des sorts : dans la répétition. Un parent autoritaire qui dit « tu n’as jamais fait assez », un supérieur qui répète que « d’autres feraient mieux que toi », un conjoint qui souffle « tu ne trouveras jamais quelqu’un d’autre que moi ». Chacun de ces mots agit comme une incantation invisible, qui finit par peser lourd sur l’âme.

On parle souvent du « mauvais œil » comme d’un regard malveillant jeté par autrui. Mais il peut être aussi symbolique : ce sont ces regards qui vous dévisagent avec jalousie, qui scrutent vos réussites pour les minimiser, ou qui vous font sentir que vous brillez « trop ». Le mauvais œil, c’est cette énergie qui cherche à éteindre une lumière.

Le mauvais œil, c’est cette énergie qui cherche à éteindre une lumière.

Comment se protéger et réécrire son histoire

La première étape, c’est de reconnaître que ce poids existe. Prendre conscience que certaines croyances ne sont pas les nôtres, mais le reflet de projections, de jalousies, de blessures que d’autres nous ont imposées. Ensuite, vient le travail de réappropriation. Il existe des rituels de protection, bien sûr – des prières, des symboles, des gestes simples comme allumer une bougie blanche ou purifier son espace avec de la sauge. Mais il y a aussi des gestes intérieurs : apprendre à remplacer un mot destructeur par une affirmation réparatrice, à se redire ce qu’on aurait aimé entendre. Tenir un petit carnet de phrase positives sur soi par exemple.

Je pense souvent à cette phrase : les mots peuvent détruire, mais ils peuvent aussi reconstruire. Un jour, une autre cliente m’a confié qu’après des années à entendre « tu n’as pas de voix », elle s’était mise au chant. Elle a découvert qu’elle avait une puissance insoupçonnée. C’était sa façon à elle de briser le sort, de réécrire le scénario.

Se protéger, ce n’est pas seulement se barricader, c’est aussi apprendre à nourrir sa lumière intérieure, à entretenir ce qui nous rend vivants. Car aucune ombre, aucun mauvais œil, aucun mot malveillant ne peut tenir longtemps face à une flamme qu’on entretient jour après jour.

L’importance des rituels et de l’accompagnement personnalisé

En conclusion, Comme un tableau noir que l’on efface, il est possible de nettoyer les blessures invisibles et se libérer des influences négatives. Découvrez mes consultations de voyance et ma séance de libération énergétique pour retrouver votre clarté intérieure.